Nga veprat e Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #88

Studioni këtë pasazh

  
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88. Que dans sept Chapitres de l’Apocalypse il ait été traité de l’Etat perverti de l’Eglise chez les Réformés, et dans deux, de l’Etat perverti de l’Eglise chez les Catholiques-Romains, et que ces Etats de l’une et de l’autre Eglise, tels qu’ils sont aujourd’hui, aient été condamnés, c’est ce qui a été montré, non par de vaines conjectures, mais par des preuves convaincantes, dans l’Explication de l’Apocalypse, intitulée L’Apocalypse Révélée. On y voit que ceux qui, dans l’Eglise des Réformés, font d’un Dieu trois Dieux et d’un Seigneur deux Seigneurs, et qui séparent la charité d’avec la Foi, en ce qu’ils font leur Foi spirituelle et salvifique, et non la Charité, ont été entendus par le Dragon, dont il est parlé au Chapitre 12, L’Apocalypse Révélée 532-565, et mémorable L’Apocalypse Révélée 566; qu’ils y sont décrits en outre par, les deux Bêtes sortant l’une de la mer et l’autre de la terre, Chap. 13, L’Apocalypse Révélée 567-610, et mémorable L’Apocalypse Révélée 611; et aussi par les Sauterelles qui sortirent du Puits de l’abime, Chap. 9, L’Apocalypse Révélée 419-442; que cette même Foi confirmée est entendue par la grande Ville, nominée spirituellement Sodome et Egypte, où les deux fidèles témoins furent tués, Chap. 11, L’Apocalypse Révélée 485-530, spécialement N° 500 à 508, et Mémorable N° 531; et aussi par le Puits de l’Abime, d’où sortit une fumée comme d’une grande fournaise, dont le soleil et l’air furent obscurcis, et d’où ensuite sortirent des Sauterelles, Chap. 9, L’Apocalypse Révélée 421-424.

  
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Thanks to L'Eglise Générale de la Nouvelle Jérusalem de Côte d'Ivoire for their permission to use the scanned and corrected text of this French translation.

Nga veprat e Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #8

Studioni këtë pasazh

  
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8. La foi vient par l’ouïe, lorsque l’homme tient pour vrai ce qui a été divinement révélé, et qu’il croit aux promesses de Dieu. La foi est le commencement du salut humain, le fondement et la racine de toute justification, sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu, et de venir dans la société de ses enfants: la Justification se fait par la foi, l’espérance et la charité, et la foi à moins que l’espérance et la charité ne s’en approchent, n’est point une foi vive, mais c’est une foi morte qui n’unit point avec Christ. L’homme doit coopérer; il peut s’approcher et s’éloigner, autrement rien ne pourrait lui être donné, parce qu’il serait comme un corps inanimé. Puisque la réception de la justification renouvelle l’homme, et que cela se fait par l’application du mérite du Christ en lui, l’homme coopérant, il s’ensuit que les œuvres sont méritoires; mais parce qu’elles se font d’après la grâce et par l’Esprit Saint, et que le Christ Seul a mérité, Dieu fait que ses dons sont des mérites chez l’homme; de là il résulte que personne ne peut s’attribuer quelque chose du mérite.

  
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