Nga veprat e Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #1

Studioni këtë pasazh

  
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Résumés en exposition de la doctrine de l’Église Nouvelle, qui doit être compris par la Nouvelle Jérusalem dans l’Apocalypse 1. Après avoir publié dans l’espace de peu d’années quelques Ouvrages et quelques Opuscules sur la NOUVELLE JERUSALEM, par laquelle est entendue la Nouvelle Eglise qui doit être instaurée par le Seigneur, et après que l’Apocalypse eut été révélée, je formai le dessein de mettre au jour la Doctrine de cette Eglise dans sa plénitude, ainsi la doctrine entière; mais, comme c’est un travail qui exigera quelques années, j’ai pris la résolution d’en présenter une sorte d’Esquisse (Sciagraphie), afin qu’on ait d’abord une idée générale de cette Eglise et de sa Doctrine, puisque, quand les notions communes précèdent toutes les choses, en général et en particulier, qui sont comprises dans leur étendue, apparaissent ensuite dans la lumière, car elles entrent dans les notions communes comme des homogènes dans leurs réceptacles. Toutefois, cet Abrégé n’est pas soumis aux jugements pour la discussion, mais il est seulement communiqué pour la connaissance du sujet, attendu que tout le contenu en sera pleinement démontré dans l’ouvrage même. 1 Mais comme il sera, dans la suite, traité des Discordances entre les dogmes de l’Eglise d’aujourd’hui et ceux de la Nouvelle Eglise je vais d’abord présenter les Doctrinaux d’aujourd’hui sur la Justification.

Fusnotat:

1. Swedenborg, né en 1686, était dans sa quatre-vingt-deuxième année 1769 quand il publia cet Abrégé. L’Ouvrage dont il est ici parle, à savoir LA VRAIE RELIGION CHRETIENNE, contenant la Théologie Universelle de la Nouvelle Eglise, a été mis sous la presse environ deux ans après; Swedenborg était alors dans sa quatre-vingt-quatrième année, et il quitta notre monde au commencement de 1772, peu de temps après la publication de cet important Traité.

  
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Nga veprat e Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #33

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33. Si l’idée de Trois Dieux a principalement découlé du symbole d’Athanase, ou la Trinité de personnes est enseignée, c’est parce que le nom de Personne enfante cette idée, et aussi parce que les paroles suivantes de ce Symbole l’implantent:

« Autre est la Personne du Père, autre celle du Fils, autre celle de l’Esprit-Saint; »

Et ensuite: le Père est Dieu et Seigneur, le Fils est Dieu et Seigneur, et l’Esprit Saint est Dieu et Seigneur; mais principalement celles-ci:

« Comme nous sommes forcés d’après la Vérité Chrétienne de confesser que chaque Personne séparément est Dieu et Seigneur, de même il nous est défendu, d’après la Religion Catholique de dire trois Dieux ou trois Seigneurs; »

de ces paroles il résulte que, d’après la Vérité Chrétienne, il faut confesser et reconnaitre trois Dieux et trois Seigneurs, mais que d’après la Religion Catholique il n’est pas permis de dire ou de nommer trois Dieux ni trois Seigneurs; qu’ainsi il faut avoir l’idée de trois Dieux et de trois Seigneurs, mais qu’il est défendu de l’avouer de bouche. Que cependant la Doctrine de la Trinité dans le symbole d’Athanase Concorde toujours avec la vérité, pourvu qu’à la Trinité de personnes on y substitue la Trinité de la Personne, Trinité qui est dans le Dieu Sauveur Jésus-Christ, on le voit dans la doctrine de la nouvelle Jérusalem sur le Seigneur publiée en 1763 à Amsterdam, N° 55 à 61.

  
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Nga veprat e Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #21

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21. Les Chefs de la Reforme, Luther, Melanchthon et Calvin, ont retenu tous les Dogmes sur la Trinité de Personnes dans la Divinité, sur le Péché Originel, sur l’imputation du Mérite du Christ, et sur la Justification par la foi, tels qu’ils étaient alors qu’ils avaient été chez les Catholiques-Romains; mais ils ont séparé la Charité ou les bonnes œuvres d’avec cette foi, et déclare qu’ils n’étaient pas ensemble salvifiques, afin de rompre avec les Catholiques-Romains quant aux essentiels mêmes de l’église, qui sont la Foi et la Charité.

  
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