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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #31

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31. Il sera d’abord dit quelque chose sur l’origine, ou sur la source d’où a découlé l’idée de la Trinité de Personnes dans la Divinité, et par suite l’idée de trois Dieux. Il y a trois Symboles, qui sont appelés Symbole Apostolique, Symbole de Nicée et Symbole d’Athanase, lesquels enseignent spécialement la Trinité; les deux premiers la Trinité elle-même, et celui d’Athanase la Trinité de personnes. Ces trois Symboles se trouvent dans plusieurs Livres de Psaumes, le Symbole Apostolique dans le Psaume qui est chanté, celui de Nicée après le Décalogue, et celui d’Athanase à part, là. Le Symbole Apostolique a été écrit après le temps des Apôtres; le Symbole de Nicée, dans le Concile tenu à Nicée, ville de Bithynie, auquel furent convoqués, par l’Empereur Constantin tous les Evêques de l’Asie, de l’Afrique et de l’Europe, l’An 325. Mais le Symbole d’Athanase a été composé, après ce Concile, par une personne ou par plusieurs personnes, pour renverser entièrement les Ariens, et ensuite il a aussi été accepté par les Eglises comme œcuménique. Par les deux premiers Symboles a brillé la confession de la Trinité, mais par le troisième ou par celui d’Athanase s’est répandue la profession de la Trinité de personnes; que de la soit provenue l’idée de trois Dieux, on le verra dans ce qui va suivre.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #112

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112. 3. La foi de l’imputation ou de l’application de la justice ou du mérite du Christ, étant impossible, est une foi imaginaire. IL a été démontré ci-dessus, N° 110, que à chacun est imputé le mal dans lequel il est, pareillement le bien; de là il est évident que si par l’imputation on entend implication et par conséquent l’introduction du bien de l’un dans un autre, c’est une pensée imaginaire. Dans le Monde, les Mérites peuvent être comme transcrits par les hommes, c’est-à-dire, qu’on peut faire du bien aux enfants à cause de leurs parents, ou aux amis de quelqu’un en considération de celui-ci; mais le bien du mérite ne peut pas être inscrit dans leurs âmes, il peut seulement être adjoint extérieurement; semblable chose ne peut pas avoir lieu chez les hommes quant à leur vie spirituelle; celle-ci, comme il a été dit plus haut, doit être implantée, et si elle n’est pas implantée par une vie conforme aux préceptes du Seigneur, ci-dessus rapportés, l’homme reste dans le mal dans lequel il est né; avant que cela ait été fait, aucun bien ne peut atteindre cet homme; s’il l’atteint, aussitôt il est répercuté et rebondit, comme une balle élastique qui tombe sur la pierre, ou il est englouti comme un diamant jeté dans un marais. L’homme non reformé quant à l’esprit est comme une panthère, ou comme un hibou, et peut être comparé au buisson d’épine et à l’ortie; mais l’homme régénéré est comme une brebis ou comme une colombe, et peut-être comparé à l’olivier et au cep de vigne; pensez, je vous prie, s’il vous plait, comment il est possible qu’un homme-panthère soit converti en homme-brebis, ou un hibou en colombe, ou le buisson d’épine en olivier, ou l’ortie en cep de vigne, par quelque imputation, si par imputation on entend une transcription; pour que la conversion se fasse, ne faut-il pas qu’auparavant la férocité de la panthère et du hibou, ou le nuisible du buisson d’épine et de l’ortie soient enlevés, et qu’ainsi le vraiment humain et le non nuisible soient implantés? Quant à la manière dont cela se fait, le Seigneur l’enseigne aussi dans Jean 15:1-7.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #110

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110. 1. A chacun après la mort est imputé le mal dans lequel il est pareillement; pareillement le bien. Pour que cette Proposition soit présentée avec évidence, elle sera examinée par subdivision dans cet ordre:

1. Chacun a une vie qui lui est propre.

2. Après la mort la vie de chacun lui reste.

3. Alors un Méchant est imputé le mal de sa vie, et au bon est imputé le bien de sa vie.

Premièrement: Chacun a une vie qui lui est propre, par conséquent distincte de la vie d’un autre; cela est connu: il existe, en effet, une variété perpétuelle, et il n’y a aucune chose qui soit la même qu’une autre; de là chacun a son propre: c’est ce que l’on voit clairement d’après les Faces des hommes, il n’existe pas de face qui soit absolument semblable à une autre, et il ne peut pas y en avoir dans toute l’éternité, parce qu’il n’y a pas deux mentals (animi) qui soient semblables, et que les faces dépendent des mentals (animi); en effet, la face est, comme on dit, le type du mental, et le mental (animus) tire de la vie son origine et sa forme. Si l’homme n’avait pas une vie qui lui fut propre, comme il a un mental (animus) et une face qui lui sont propres, il n’aurait pas après la mort une vie distincte de la vie d’un autre; et même, il n’y aurait pas non plus de ciel, car le ciel consiste en de perpétuelles variétés (ex. perpetuis aliis); sa forme est uniquement composée de variétés d’âmes et de mentals disposées dans un tel ordre, qu’elles font un et elles font un d’après l’un, dont la Vie est là dans toutes et dans chacune des variétés, comme l’Ame est dans l’homme; si cela n’était pas ainsi, le ciel serait dissipé, parce que la forme serait dissoute. L’un d’après lequel la vie est dans toutes et dans chacune des variétés, et d’après Lequel la forme a de la cohérence, est le Seigneur.

Secondement: Après la mort la vie de chacun lui reste: cela est connu dans l’Eglise d’après la Parole, et d’après ces passages dans la Parole:

« Le Fils de l’Homme doit venir, et alors il rendra à chacun selon ses œuvres. » (Matthieu 16:27)

« Je vis des livres ouverts, et tous furent jugés selon leurs œuvres. » (Apocalypse 20:12-13)

« Au jour du jugement, Dieu rendra à chacun selon ses œuvres. » (Romains 2:6; 2 Corinthiens 5:10)

Les œuvres, selon lesquelles il sera rendu à chacun, sont la vie, parce que c’est la vie qui les fait, et qu’elles sont selon la vie. Comme il m’a été donné pendant plusieurs années d’être de compagnie avec les Anges et de parler (dans le Monde des Esprits) avec ceux qui arrivent du Monde, je puis attester avec certitude que chacun y est examiné sur la qualité de sa vie, et que la vie qu’il a contractée dans le Monde lui reste à éternité; j’ai parlé avec ceux qui avaient vécu dans notre Monde il y a des siècles, et dont la vie m’était connue par l’Histoire, et j’ai reconnu qu’ils avaient une vie semblable à la description historique; j’ai appris aussi par les Anges, que la vie de qui que ce soit ne peut être changée après la mort, parce qu’elle a été organisée selon son amour et sa foi, et par suite selon ses œuvres; et que si elle était changée, l’organisation serait dissoute, ce qui ne peut jamais arriver; puis aussi, que le changement d’organisation a lieu uniquement dans le corps matériel, et n’est nullement possible dans le corps spirituel après que le corps matériel a été rejeté.

Troisièmement: Alors au Méchant est imputé le mal de sa vie, et au Bon est imputé le bien de sa vie: L’imputation du mal après la mort n’est ni une accusation, ni un blâme, ni une inculpation, ni un jugement, comme dans le Monde; mais le mal lui-même fait cela; car les méchants, d’après leur libre, se séparent d’avec les bons, parce qu’ils ne peuvent point être ensemble; les plaisirs de l’amour du mal ont en aversion les plaisirs de l’amour du bien, et les plaisirs s’exhalent de chacun, comme les odeurs s’exhalent de tout végétal sur la terre , car ils ne sont ni absorbés ni cachés par le corps matériel comme auparavant, mais ils effluent librement de leurs amours en une aura (aura) spirituelle; et comme le mal y est senti comme dans son odeur, c’est ce mal qui accuse, blâme, inculpe et juge, non devant un juge, mais devant quiconque est dans le bien; et c’est là ce qui est entendu par imputation. L’imputation du bien se fait de la même manière, ceci a lieu pour ceux qui, dans le Monde, ont reconnu que tout bien en eux est venu et vient du Seigneur, et que rien du bien ne vient d’eux: après que ceux-ci ont été préparés, ils sont mis dans les plaisirs intérieurs de leur bien, et alors il leur est ouvert un chemin pour le Ciel vers la Société où les plaisirs sont homogènes avec les leurs; cela est fait par le Seigneur.

  
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