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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #117

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117. La foi du Nouveau Ciel et de la Nouvelle Eglise dans la forme particulière est celle-ci: que Jéhovah Dieu est l’Amour Même et la Sagesse Même, ou qu’il est le Bien Même et le Vrai Même; et que Lui Même, quant au Divin Vrai, qui est la Parole, et qui a été Dieu chez Dieu, est descendu et a pris l’Humain, dans le but de remettre dans l’ordre toutes les choses qui étaient dans le Ciel, toutes celles qui étaient dans l’Enfer et toutes celles qui étaient dans l’église, parce qu’alors la puissance du Diable; c’est-à-dire, de l’Enfer, l’emportait sur la puissance du ciel, et que dans les Terres la puissance du mal l’emportait sur la puissance du bien, et qu’en conséquence une damnation générale était à la porte et imminente: Jéhovah Dieu, par son Humain qui était le Divin Vrai, a enlevé cette damnation qui allait arriver, et il a ainsi racheté les Anges et les Hommes; ensuite dans son Humain il a uni le Divin Vrai au Divin Bien, et ainsi il est retourné dans son Divin, dans Lequel il a été d’éternité, à la fois avec l’Humain glorifié. C’est ce qui est entendu par ce passage dans Jean:

« La Parole était chez Dieu, et Dieu elle était, la Parole! Et la Parole Chair a été faite. »(Jean 1:1, 14),

et par ce passage dans le même:

« Je suis issu du Père, et je suis venu dans le Monde; de nouveau je laisse le Monde, et je m’en vais au Père. » (Jean 16:28)

D’après cela, il est évident que sans l’Avènement du Seigneur dans le Monde, nul n’aurait pu être sauvé. Il en est de même aujourd’hui; si donc le Seigneur ne vient de nouveau dans le Monde dans le Divin Vrai, qui est la Parole, personne non plus ne peut être sauvé.

De la part de l’homme les Particuliers de la foi sont:

1. Qu’il y a un seul Dieu en Qui est la Divine Trinité et que ce Dieu est le Seigneur Dieu Sauveur Jésus-Christ.

2. Que la Foi Salvifique est de croire en Lui.

3. Qu’il faut fuir les maux, parce qu’ils sont du diable et viennent du diable.

4. Qu’il faut faire les biens, parce qu’ils sont de Dieu et viennent de Dieu.

5. Et que les biens doivent être faits par l’homme comme par lui-même, mais qu’il doit croire que c’est par le Seigneur qu’ils sont chez lui et faits par lui. Les deux premiers appartiennent à la Foi, les deux suivants à la Charité, et le cinquième appartiennent à la Conjonction de la charité et de la foi, ainsi à la Conjonction du Seigneur et de l’homme. Voir aussi plus haut, N 44.

  
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Thanks to L'Eglise Générale de la Nouvelle Jérusalem de Côte d'Ivoire for their permission to use the scanned and corrected text of this French translation.

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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #14

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14. SUR LES MÉRITES, D’APRÈS LA FORMULE DE CONCORDE.

(a) il est faux que Nos. œuvres méritent la rémission des péchés; il est faux que les hommes soient réputés justes par la justice de la raison; et il est faux que la raison par ses propres forces puisse aimer Dieu par-dessus toutes choses, et faire la loi de Dieu, page 64.

(b) La foi ne justifie pas par cela qu’elle est elle-même une bonne œuvre et une vertu excellente, mais parce qu’elle saisit le Mérite du Christ dans la promesse de l’Evangile, pages 76, 684.

(c) La promesse de la rémission des péchés et de la justification à cause du Christ ne renferme point la condition des mérites, puisqu’elle est offerte gratuitement, page 67.

(d) L’homme pécheur devant Dieu est justifié ou absous de ses péchés, et du jugement d’une très juste damnation, et il est adopté au nombre des enfants de Dieu, sans aucun mérite de sa part, et sans aucune de ses œuvres passées, présentes ou futures, d’après une pure grâce, seulement à cause du mérite unique du Christ, qui nous est imputé à justice, page 684.

(e) Les bonnes œuvres suivent la foi, la rémission des péchés et la régénération, et ce qu’il y a en elles d’impur et d’imparfait n’est réputé ni péché, ni défaut, et cela à cause du Christ; et ainsi l’homme tout entier, tant quant à la personne que quant aux œuvres, est juste et saint et nommé tel, d’après la pure grâce et la pure miséricorde répandues, étendues et agrandies sur nous dans le Christ; c’est pourquoi nous ne pouvons-nous glorifier pour des mérites, pages 74, 92, 93, 336.

(f) Celui qui se confie dans le mérite de ses œuvres, méprise le mérite et la grâce du Christ, et cherche le chemin du ciel par ses propres forces sans le Christ, pages 16, 17, 18, 19.

(g) Si quelqu’un veut mêler les bonnes couvres à l’Article de la justification, et mériter par elles la grâce de Dieu, les œuvres d’un tel homme sont pour lui, non-seulement inutiles, mais encore pernicieuses, page 708.

(h) Sont énumérées les œuvres du Décalogue et plusieurs autres qui doivent être faites, et que Dieu embellit par des récompenses, pages 176, 198.

(i) Nous enseignons que les bonnes œuvres sont méritoires, non pas de la rémission des péchés, ni de la grâce, ni de la justification, mais des autres récompenses corporelles, comme aussi des récompenses spirituelles dans cette vie et après cette vie, parce que Paul dit:

« Chacun recevra une récompense selon son travail, et le Christ sera votre grande récompense dans les Cieux; »

et il est dit très souvent qu’il sera rendu à chacun selon ses œuvres; c’est pourquoi nous avouons que la vie éternelle est une récompense, parce que c’est une chose due à cause de la promesse, et parce que Dieu couronne ses dons, mais non à cause de Nos. mérites, pages 96, 133, 134, 135, 136, 137, 138.

(k) Lorsque les bonnes œuvres, dans ceux qui croient, sont faites pour les véritables causes et se réfèrent aux véritables fins, comme Dieu les exige des Renés, elles sont les indices du salut éternel; et Dieu le Père les accepte et les a pour agréables à cause du Christ; et il promet à ceux-là les brillantes récompenses de cette vie et de la vie future, page 708.

(l) Quoique les bonnes œuvres méritent des récompenses, cependant elles ne méritent la rémission des péchés ou la gloire de la vie éternelle, ni parce qu’elles en sont dignes, ni parce qu’elles sont convenables, pages 96, 135, 139, et suivant, et dans l’Appendice, page 174.

(m) Le Christ, au jugement dernier, doit porter une sentence sur les bonnes et sur les mauvaises œuvres, comme étant des effets propres et servant de témoignage à la foi des hommes, page 134, Appendice, page 187.

(n) Dieu récompense les bonnes œuvres, mais c’est par grâce qu’il couronne ses dons, DANS LA CONFESSION DES EGLISES BELGES.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #44

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44. Telle est la Foi de la Nouvelle Eglise dans la forme simple; on la verra dans une forme plus étendue dans l’Appendice, et dans une forme large dans la Première Partie de l’ouvrage même, ou il sera traité du Seigneur Dieu Sauveur et de la Trinité en Lui; de l’ Amour envers Dieu et de l’Amour à l’égard du prochain; puis, de la Foi et de la conjonction de la foi avec ces deux Amours; et aussi dans les autres Articles qui, là, se suivent en ordre. Mais il est important que ce préliminaire sur cette foi soit illustré ici en peu de mots; et son premier point:

« Il y a un seul Dieu, en qui est la Divine Trinité, et ce Dieu est le Seigneur Jésus-Christ, »

est sommairement illustré par ce qui suit: Une vérité certaine et constante, c’est que Dieu est un, que son Essence est indivisible, et qu’il y a une Trinité; puis donc que Dieu est un, et que son Essence est indivisible, il s’ensuit que Dieu est une seule Personne, et que, puisqu’il est une seule Personne, la Trinité est dans cette Personne: que cette Personne soit le Seigneur Jésus-Christ, c’est ce qui est évident en ce qu’il a été conçu de Dieu le Père, (Luc 1:34-35) et qu’ainsi il est Dieu quant à l’âme et à la vie même; et que par suite, comme il l’a dit Lui-Même, le Père et Lui sont un,(Jean 10:30) que Lui-Même est dans le Père et le Père en Lui, (Jean 14:10-11); - que celui qui Le voit et Le connait, voit et connait le Père, (Jean 14:7, 9) que personne ne voit et ne connait le Père, que Lui qui est dans le sein du Père, (Jean 1:18) que tout ce qui appartient au Père est à Lui, (Jean 3:35; 16:15) qu’il est le Chemin, la Vérité et la Vie, et que personne ne vient au Père que par Lui, (Jean 14:6), par conséquent de Lui (b Ipso) parce qu’il est en Lui et ainsi Lui; et selon Paul, que toute la plénitude de la Divinité habite corporellement en Lui, (Colossiens 2:9) et selon Esaïe:

« Un enfant nous est né, un fils nous a été donné, dont le nom est Dieu, Père d’Eternité. » (Ésaïe 9:5)

Et qu’en outre il a pouvoir sur toute chair, (Jean 17:2) et qu’il Lui a été donné tout pouvoir dans le Ciel et sur Terre, (Matthieu 28:18) d’où il suit qu’il est le Dieu du Ciel et de la Terre.

Le second point: « La Foi Salvifique est de croire en Lui, » est illustré par ces passages:

« Jésus dit: Celui qui croit en Moi ne mourra point, à éternité, mais il vivra. » (Jean 11:25-26)

« C’est la volonté du Père, que quiconque croit au Fils ait la vie éternelle. » (Jean 6:40)

«Dieu a tellement aimé le Monde, que son Fils Unique-Engendré il a donné, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3:15-16)

« Qui croit au Fils a la vie éternelle, mais qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3:36)

Les trois autres points:

« il faut fuir les maux, parce qu’ils sont du diable et viennent du diable; il faut faire les biens, parce qu’ils sont de Dieu et viennent de Dieu; mais l’homme doit croire que c’est par le Seigneur que les biens sont chez lui et faits par lui, » n’ont pas besoin d’être illustrés ni démontrés; car toute l’Ecriture Sainte depuis le commencement jusqu’à la fin les confirme; il n’y est en somme enseigné autre chose que de fuir les maux, de faire les biens, et de croire en un seul Seigneur Dieu. Et de plus, sans ces trois points, il n’y a aucune religion, car la Religion appartient à la vie, et la vie est de fuir les maux et de faire les biens, et l’homme ne peut faire ceux-ci ni fuir ceux-là, si ce n’est comme par lui-même; si donc tu repousses de l’Eglise ces trois points, tu en repousses l’Ecriture Sainte, et tu en repousses aussi la Religion, lesquelles étant repoussées, l’Eglise n’est point Eglise. En outre, pour ce qui concerne la Foi de la Nouvelle Eglise dans la forme universelle et dans la forme particulière, voir ci-après les Nos. 116 et 117; tout ce qu’ils contiennent sera démontré dans l’ouvrage Même.

  
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