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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #31

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31. Il sera d’abord dit quelque chose sur l’origine, ou sur la source d’où a découlé l’idée de la Trinité de Personnes dans la Divinité, et par suite l’idée de trois Dieux. Il y a trois Symboles, qui sont appelés Symbole Apostolique, Symbole de Nicée et Symbole d’Athanase, lesquels enseignent spécialement la Trinité; les deux premiers la Trinité elle-même, et celui d’Athanase la Trinité de personnes. Ces trois Symboles se trouvent dans plusieurs Livres de Psaumes, le Symbole Apostolique dans le Psaume qui est chanté, celui de Nicée après le Décalogue, et celui d’Athanase à part, là. Le Symbole Apostolique a été écrit après le temps des Apôtres; le Symbole de Nicée, dans le Concile tenu à Nicée, ville de Bithynie, auquel furent convoqués, par l’Empereur Constantin tous les Evêques de l’Asie, de l’Afrique et de l’Europe, l’An 325. Mais le Symbole d’Athanase a été composé, après ce Concile, par une personne ou par plusieurs personnes, pour renverser entièrement les Ariens, et ensuite il a aussi été accepté par les Eglises comme œcuménique. Par les deux premiers Symboles a brillé la confession de la Trinité, mais par le troisième ou par celui d’Athanase s’est répandue la profession de la Trinité de personnes; que de la soit provenue l’idée de trois Dieux, on le verra dans ce qui va suivre.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #54

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54. Les Chefs de l’Eglise insistent fortement pour que l’Entendement soit soumis à l’obéissance de la foi; bien plus, ils disent que la Foi Del ‘inconnu, qui est une foi aveugle ou nocturne, est proprement la foi; c’est là un premier Paradoxe, car la foi appartient au vrai, et le vrai appartient à la foi; et le vrai, pour qu’il devienne de la foi, doit être dans sa lumière et être vu, autrement on peut croire le faux. Les Paradoxes qui découlent d’une telle foi sont en grand nombre; par exemple, que Dieu le Père a engendré un Fils de toute éternité; que l’Esprit Saint procède de l’un et de l’autre, et que chacun est par soi-même une Personne, et est Dieu; que le Seigneur, tant quant à l’âme que quant au corps, est issu d’une mère; que ces trois Personnes, ainsi ces trois Dieux, ont créé l’univers, et que l’un d’eux est descendu et a pris l’Humain, pour réconcilier les hommes avec le Père, et ainsi pour les sauver; qu’il y’a salut par l’imputation, l’application et la translation de la justice du Fils en ceux qui par la grâce acquièrent la foi et croient ces paradoxes; que l’homme a la première réception de cette foi est comme une statue, un tronc d’arbre ou une pierre, et que, La foi influe par la seule audition de la Parole; que la foi donne seule le salut, sans les œuvres de la loi, et sans avoir été formée d’après la charité; qu’elle opère la rémission des péchés, sans avoir été précédée de la pénitence; que d’après cette seule rémission des péchés, l’impénitent est justifié, régénéré et sanctifié, et qu’ensuite la charité, les bonnes œuvres et la résipiscence suivent d’elles-mêmes; outre plusieurs paradoxes semblables, qui tous découlent de la doctrine fondée sur l’idée de trois Dieux, comme une lignée d’enfants issus d’une couche illégitime.

  
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