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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #25

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25. Que les Chefs de la Réforme, bien qu’ils aient séparé la foi et la charité, les aient cependant adjointes, et enfin conjointes, mais ne veuillent pas qu’elles soient un ou forment un salvifique simultané. C’est ce qu’on voit par leurs Livres, par leurs Sermons et par leurs Discours; car après qu’ils les ont séparées, ils les conjoignent, et même ils expriment la conjonction par des paroles expresses et non susceptibles d’un double sens, à savoir, par celles-ci: Que la Foi après la justification n’est jamais seule sans avoir avec elle la charité ou les bonnes œuvres, et que, s’il en est autrement, la foi est non vivante, mais morte; voir ci-dessus, N° 13 (o) (p) (q) (r) (y) (bb). Et même que les bonnes œuvres suivent nécessairement la foi, N° 13 (x) (y) (z), Et enfin que le René par les nouvelles forces et les nouveaux dons coopère avec l’Esprit Saint, N° 13 (aa). Que des choses absolument semblables soient enseignées par les Catholiques-Romains, c’est ce qu’on voit clairement par les passages extraits du Concile de Trente, N°4, 5, 6, 7, 8.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #65

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65. Qu’on ne croie point aujourd’hui à d’autre Salvation qu’à celle qui est opérée en un moment par la Miséricorde immédiate, on le voit, en ce que toute l’œuvre de la salvation s’accomplit par la seule foi orale jointe à une confiance pulmonaire, et non en même temps par la charité d’après laquelle la foi orale devient réelle, et la confiance pulmonaire devient cardiaque: en effet, si l’on ôte la coopération que l’homme apporte comme de lui-même par les exercices de la charité, la coopération spontanée qui suit d’elle-même la foi devient une action passive c’est-à-dire, un mot frivole; car qu’est-il alors besoin d’autre chose que de ce moyen instantané et immédiat:

« Sauve moi, ô mon Dieu ! En considération de la passion de ton Fils, qui par son sang m’a lavé de mes péchés, et me place pur, juste et saint devant ton Trône, »

Puisque ces expressions de la bouche ont de la force, comme semence de la justification, même à la dernière heure de la mort si elles n’ont pas été prononcées auparavant? Que cependant la Salvation opérée en un moment par la Miséricorde immédiate soit aujourd’hui un serpent volant dans l’Eglise, et que ce dogme abolisse la religion, introduise la sécurité, et impute au, Seigneur la damnation, on le voit dans le traité sur la Divine Providence, publié à Amsterdam en 1764, (La Divine Providence 340).

  
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