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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #32

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32. Qu’il y ait une Divine Trinité, cela est bien évident d’après les Paroles du Seigneur, dans Matthieu:

« Jésus dit: Allez, faites disciples toutes les nations, les baptisant au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » (Matthieu 28:19);

Et d’après ces paroles dans le Même:

«Jésus ayant été baptisé, voici, les cieux lui furent ouverts, et il vit l’esprit de Dieu descendant comme une colombe, et venant sur lui, et voici, une voix du ciel: celui-ci est mon fils bien-aimé en qui je me suis complu. » (Matthieu 3:16-17).

Si le Seigneur a envoyé les Disciples baptiser au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, c’était parce qu’en Lui alors glorifié, il y avait la Divine Trinité; car dans ce Chap. 28, il dit au Vers. 18, qui précède:

« Il m’a été donné tout pouvoir dans Le Ciel et sur Terre; » (Matthieu 28:18),

Et au Vers. 20, qui suit:

«Voici, Moi, avec vous je suis tous les jours Jusqu’à la Consommation du siècle; » (Matthieu 28:20),

Ainsi, il parle de Lui Seul, et non de Trois, et dans Jean:

« Il n’y avait pas encore l’Esprit Saint, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié. » (Jean 7:39),

Et ces paroles, il les a dites après la Glorification, et la Glorification a été l’union plénière avec son Père, Qui était le Divin Même en Lui par la conception; et l’Esprit Saint était le Divin procédant de Lui glorifié, (Jean 20:22).

  
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Thanks to L'Eglise Générale de la Nouvelle Jérusalem de Côte d'Ivoire for their permission to use the scanned and corrected text of this French translation.

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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #108

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108. Les causes, qui font que les Catholiques-Romains peuvent être introduits, plus facilement que les Réformés, dans la Nouvelle Jérusalem, c’est-à-dire, dans la Nouvelle Eglise, sont au nombre de trois: la première, c’est que la Foi de la justification par l’imputation du mérite du Christ, foi qui est erronée et ne peut exister en même temps que la foi de la Nouvelle Eglise, N°s 102, 103, 104, est oblitérée chez eux, et même doit l’être tout à fait, tandis qu’elle est comme gravée chez les Réformés, parce qu’elle est la foi principale de leur Eglise. La seconde, c’est que l’idée de la Divine Majesté dans l’Humain du Seigneur est plus chez les Catholiques-Romains que chez les Réformés, comme on le voit clairement par la très-sainte vénération des Hosties. La troisième, c’est que chez les Catholiques-Romains, la Charité, les Bonnes œuvres, la Pénitence, l’étude d’une nouvelle vie, sont les Essentiels du salut, et que ces choses sont aussi les Essentiels de la Nouvelle Eglise, tandis qu’il en est autrement chez les Réformés qui se sont confirmés dans la foi seule; chez ceux-ci ces mêmes choses n’entrent point comme essentielles, ni comme formelles, dans la foi, et par suite ne contribuent en rien au salut. Ces trois Causes font que si les Catholiques-Romains s’adressent à Dieu Sauveur Lui-Même, non médiatement, mais immédiatement, et si en outre ils participent aux deux Espèces dans la Sainte Eucharistie, ils reçoivent plus facilement que ces Réformés la foi vive au lieu de la foi morte, et sont portés par le Seigneur, au moyen des Anges, aux portes de la Nouvelle Jérusalem ou de la Nouvelle Eglise, et introduits avec joie et jubilation.

  
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