സ്വീഡൻബർഗിന്റെ കൃതികളിൽ നിന്ന്

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #25

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25. Que les Chefs de la Réforme, bien qu’ils aient séparé la foi et la charité, les aient cependant adjointes, et enfin conjointes, mais ne veuillent pas qu’elles soient un ou forment un salvifique simultané. C’est ce qu’on voit par leurs Livres, par leurs Sermons et par leurs Discours; car après qu’ils les ont séparées, ils les conjoignent, et même ils expriment la conjonction par des paroles expresses et non susceptibles d’un double sens, à savoir, par celles-ci: Que la Foi après la justification n’est jamais seule sans avoir avec elle la charité ou les bonnes œuvres, et que, s’il en est autrement, la foi est non vivante, mais morte; voir ci-dessus, N° 13 (o) (p) (q) (r) (y) (bb). Et même que les bonnes œuvres suivent nécessairement la foi, N° 13 (x) (y) (z), Et enfin que le René par les nouvelles forces et les nouveaux dons coopère avec l’Esprit Saint, N° 13 (aa). Que des choses absolument semblables soient enseignées par les Catholiques-Romains, c’est ce qu’on voit clairement par les passages extraits du Concile de Trente, N°4, 5, 6, 7, 8.

  
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സ്വീഡൻബർഗിന്റെ കൃതികളിൽ നിന്ന്

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #61

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61. Qui ne sait que Dieu est la Miséricorde même et la Clémence même, parce qu’il est l’Amour même et le Bien même, et que c’est là ce qui constitue son Etre ou son Essence? et, d’après cela, qui ne voit qu’il y’a contradiction de dire que la Miséricorde même ou le Bien même puisse regarder l’homme avec colère, devenir son ennemi, se détourner de lui, décider sa damnation, et néanmoins demeurer Etre Divin ou Dieu? De telles suppositions tombent difficilement dans l’homme probe, mais facilement dans celui qui n’est pas probe; elles tombent aussi, non pas dans l’Ange du Ciel, mais dans l’Ange de l’enfer; aussi est-il abominable d’attribuer ces choses à Dieu. Qu’on les lui ait attribuées, c’est ce qui est bien évident d’après ce qui a été dit par plusieurs Pères, par les Conciles et ensuite dans les Eglises, depuis les premiers siècles jusqu’à ce jour; et aussi d’après les inductions qui du principe ont découlé nécessairement dans les principes, ou de la cause dans les effets produits (causata), comme de la tête dans les membres; par exemple, que Dieu veut être réconcilié, qu’il est réconcilié par amour pour le Fils, et par l’intercession ou la médiation; qu’il veut être rendu propice par la vue de l’extrême souffrance du Fils, et être ainsi ramené et pour ainsi dire forcé à la Miséricorde, afin que d’ennemi il devienne ami, et qu’il adopte les enfants de la colère pour enfants de la grâce. Qu’imputer la justice et les mérites de son Fils à l’injuste qui supplie par la foi seule, ce soit aussi purement humain, c’est ce qu’on verra dans la dernière analyse de cet Opuscule.

  
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