സ്വീഡൻബർഗിന്റെ കൃതികളിൽ നിന്ന്

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #27

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27. D’après les uns et les autres, il semble, au premier aspect, qu’il y a une entière conformité, mais afin qu’elle n’existe pas, les Réformateurs ont distingué entre les œuvres de la loi provenant de l’intention et de la volonté, et les œuvres de l’esprit provenant de la foi comme d’une source libre et spontanée, et ces œuvres-ci ils les ont appelées fruits de la foi; voir ci-dessus, N° 11 (h) (l), et N° 13 (a) (i) (l), et N° 15 (k). Ces choses bien examinées et conférées, on y voit, non la différence des œuvres mêmes, mais seulement la différence de la qualité des œuvres, à savoir, en ce que les unes partent de l’homme comme d’un sujet passif, et les autres comme d’un sujet actif; en conséquence celles-là, spontanément comme d’après l’entendement de l’homme, et non en même temps d’après sa volonté: cela est dit, parce qu’il est impossible que l’homme n’ait pas conscience de ses œuvres quand elles se font, puisqu’il les fait, et que c’est par l’entendement qu’il en a conscience. Cependant comme les Réformés prêchent aussi les exercices de la pénitence et les luttes avec la chair, N° 13 (d) (e) (f) (g) (h) (k), et que ces choses ne peuvent être faites par l’homme, si ce n’est d’après son intention et sa volonté, et ainsi par lui comme de lui-même, il s’ensuit que néanmoins en actualité il y a conformité.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #22

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22. Que les quatre Articles ci-dessus nommés, tels qu’ils sont aujourd’hui enseignés dans les Eglises Reformées, n’aient été ni nouveaux, ni forgés d’abord par ces Trois Chefs, mais qu’ils datent de l’époque du Concile de Nicée, et aient, après ce concile, été transmis par les Ecrivains, et par suite été conservés dans l’Eglise Catholique-Romaine, on le voit clairement d’après les Livres de l’Histoire Ecclésiastique. Que les Catholiques-Romains et les Réformes s’accordent sur l’Article de la Trinité de Personnes dans la Divinité, c’est parce que les uns et les autres reconnaissent les Trois Symboles dans lesquels la Trinité est enseignée, à savoir, le Symbole Apostolique, celui de Nicée et celui d’Athanase. Qu’ils s’accordent sur l’Article de l’imputation du mérite du Christ, on le voit clairement par les passages extraits du Concile de Trente, Nos. 3 à 8, confères avec ceux qui ont été tirés de la formule de Concorde, Nos. 10 à 15. Qu’ils s’accordent aussi sur l’Article de la Justification, c’est ce qui va être maintenant soumis à l’examen.

  
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