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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #22

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22. Que les quatre Articles ci-dessus nommés, tels qu’ils sont aujourd’hui enseignés dans les Eglises Reformées, n’aient été ni nouveaux, ni forgés d’abord par ces Trois Chefs, mais qu’ils datent de l’époque du Concile de Nicée, et aient, après ce concile, été transmis par les Ecrivains, et par suite été conservés dans l’Eglise Catholique-Romaine, on le voit clairement d’après les Livres de l’Histoire Ecclésiastique. Que les Catholiques-Romains et les Réformes s’accordent sur l’Article de la Trinité de Personnes dans la Divinité, c’est parce que les uns et les autres reconnaissent les Trois Symboles dans lesquels la Trinité est enseignée, à savoir, le Symbole Apostolique, celui de Nicée et celui d’Athanase. Qu’ils s’accordent sur l’Article de l’imputation du mérite du Christ, on le voit clairement par les passages extraits du Concile de Trente, Nos. 3 à 8, confères avec ceux qui ont été tirés de la formule de Concorde, Nos. 10 à 15. Qu’ils s’accordent aussi sur l’Article de la Justification, c’est ce qui va être maintenant soumis à l’examen.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #72

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72. Qu’il y ait fin de l’Eglise, alors qu’il n’y a plus de vrais de la foi, et que par suite il n’y a pas non plus de biens de la charité, cela se voit de soi-même: que les faux de la foi éteignent les vrais de la doctrine, et que les maux de la vie consument les biens de la charité; et aussi que là où sont les faux de la foi il y ait aussi les maux de la vie, et que là où sont les maux de la vie, il y ait aussi les faux de la foi, cela sera démontré d’une manière spéciale en son lieu. Si jusqu’à ce jour il a été caché que par la Consommation du siècle est entendue la fin de l’Eglise, c’est que là où l’on enseigne les faux, et où l’on croit et on honore comme orthodoxe la doctrine qui en provient, on ne peut nullement savoir que l’Eglise doit être consommée; en effet, les faux sont considérés comme des vrais, et les vrais comme des faux, et alors le faux chasse le vrai et le noircit, comme l’encre noircit une eau limpide, ou la suie un papier blanc: on croit, en effet, que les Docteurs de ce siècle sont dans la plus grande lumière de l’Evangile, et eux-mêmes le publient, bien qu’ils soient, quant à toute la face, dans les ténèbres; ainsi une taie a couvert les prunelles de leurs yeux.

  
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