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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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Thanks to L'Eglise Générale de la Nouvelle Jérusalem de Côte d'Ivoire for their permission to use the scanned and corrected text of this French translation.

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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #16

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16. Voici maintenant une Exposition sommaire de la Doctrine de la Nouvelle Eglise, qui est entendue par la Nouvelle Jérusalem dans l’Apocalypse, Chap. 21 et 22. Cette Doctrine, qui est non seulement doctrine de foi, mais aussi doctrine de vie, sera divisée dans l’Ouvrage même en Trois Parties.

LA PREMIÈRE PARTIE TRAITERA:

1. Du Seigneur Dieu Sauveur et de la Divine Trinité en Lui.

2. De l’Ecriture Sainte, de ses deux Sens, le Naturel et le Spirituel, et de la Sainteté qui en procède.

3. De l’amour envers Dieu et de l’amour à l’égard du prochain, et de la Concordance de ces deux amours.

4. De la Foi, et de sa Conjonction avec ces deux amours.

5. Doctrine de vie d’après les préceptes du Décalogue.

6. De la Réformation et de la Régénération.

7. Du Libre Arbitre, et de la Coopération de l’homme avec le Seigneur par le libre arbitre.

8. Du Baptême.

9. De la Sainte Cène.

10. Du Ciel et de l’Enfer.

11. De la Conjonction des hommes avec le Ciel et l’Enfer, et de leur état de vie après la mort selon la conjonction.

12. De la Vie Eternelle.

LA SECONDE PARTIE TRAITERA:

1. De la Consommation du Siècle, ou fin de l’Eglise d’aujourd’hui.

2. De l’Avènement du Seigneur.

3. Du Jugement Dernier.

4. De la Nouvelle Eglise, qui est la Nouvelle Jérusalem.

LA TROISIEME PARTIE montrera LES DISCORDANCES qui existent entre les dogmes de l’Eglise d’aujourd’hui et ceux de la Nouvelle Eglise. Mais ici nous nous arrêterons un peu sur ces discordances; et cela, parce que le Prêtre et le Laïque croient que l’Eglise d’aujourd’hui est dans la lumière même de l’Evangile, et dans ses vérités qui ne peuvent être infirmées, ébranlées, ni attaquées, même par un Ange, s’il en descendait un du Ciel: l’Eglise aujourd’hui ne voit pas non plus autre chose, parce que de la foi elle a soustrait l’entendement, et que néanmoins elle a confirmé les dogmes par une sorte de vue au-dessous de l’entendement, et parce que les faussetés y peuvent être confirmées au point de paraitre comme des vérités, et les faussetés qui y ont été confirmées empruntent une lumière trompeuse, devant laquelle la lumière des vérités semble être des ténèbres. C’est pour cette raison que nous nous arrêterons ici quelque peu, en produisant les Discordances, et en les illustrant par de courtes notes, afin que devant un Entendement, qui n’a pas été bouché par une foi aveugle, elles soient vues comme dans la lumière du crépuscule, et ensuite comme dans celle du matin, et enfin dans l’Ouvrage même comme dans la clarté du jour. Les Discordances sont en général celles-ci:

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #46

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46. Quelle est, sur tout le Globe, la Nation qui, ayant une religion et une raison saine, ne sache et ne croie qu’il y a un Dieu, que faire les maux c’est être contre Lui et faire les biens être avec Lui; que l’homme doit fuir les uns et faire les autres de toute son âme, de tout son cœur, et de toutes ses forces, bien que ce soit par un influx de Dieu, et que ce sont là les choses qui constituent la Religion? Qui donc ne voit pas, que confesser trois Personnes dans la Divinité, et déclarer que dans les bonnes œuvres il n’y a rien qui appartienne au salut, c’est séparer la Religion d’avec L’Église? En effet, il est déclaré que les bonnes œuvres ne font rien pour le salut, par ces paroles: La foi justifie sans les bonnes œuvres, N° 12 (a) (b); les œuvres ne sont nécessaires ni au salut ni à la foi, parce que le salut et la foi ne sont ni conservés ni retenus par les bonnes œuvres, N° 12 (g) (h) (m) (n); il n’y a donc point de lien de conjonction de la foi avec les bonnes œuvres. Si par un retour il est dit que les bonnes œuvres suivent toujours d’elles-mêmes la foi, comme les fruits procèdent de l’arbre, N° 13 (l) (n), alors qui les fait, et même qui pense à elles, et qui est porté de plein gré vers elles, quand on sait et que l’on croit qu’elles ne font rien pour le salut, et encore, que personne ne peut de soi-même faire aucun bien pour le salut, etc.? Si l’on dit que néanmoins ils ont conjoint la foi avec les bonnes œuvres, je répondrai que cette conjonction examinée à fond est, non pas une conjonction, mais une adjonction, et une sorte d’accessoire, qui ne cohére et n’adhère autrement que comme une ombre qu’on ajoute à un tableau pour rendre ce tableau plus vivant; et, puisque la Religion appartient à la vie, et que la vie consiste dans les bonnes œuvres faites selon les vrais de la foi, il est bien évident que la Religion elle-même est cette vie, et non pas un tel accessoire; bien plus, il est évident que chez plusieurs cet accessoire est comme une queue de cheval que l’on coupe à son gré parce qu’elle ne sert à rien. Quel est celui qui conclut autrement d’après la raison, quand il perçoit, dans le sens qu’elles présentent, des propositions comme celle-ci:

« C’est une folie de s’imaginer que les œuvres de la seconde table du Décalogue justifient devant Dieu, » N° 12 (d); puis, celle-ci:

« Si donc quelqu’un croit obtenir le salut parce qu’il a la charité, il fait injure au Christ, » N° 12 (e); comme encore celle-ci:

« Les bonnes œuvres doivent être entièrement exclues, quand il s’agit de la Justification et de la Vie éternelle, » N° 12 (f); et plusieurs autres? Quel est donc celui qui, lorsqu’il lit ensuite,

« Que les bonnes œuvres suivent nécessairement la foi, et que si elles ne la suivent point, la foi est fausse et non véritable. »N°13 (p) (q) (y), etc., fasse attention à cela? Et, s’il y fait attention, sera-ce avec perception? Où, le bien qui émane de l’homme sans la perception est inanimé comme s’il venait d’une statue. Mais si l’on pénètre plus profondément dans la cause de cette Doctrine, il devient évident que les Chefs de la Réforme ont d’abord pris pour règle la Foi seule, afin de rompre avec les Catholiques-Romains, comme il a été dit ci-dessus, N°21, 22, 23, et qu’ensuite ils ont adjoint les œuvres de la charité, afin que leur doctrine ne soit pas contraire à l’Ecriture Sainte, et afin qu’elle paraisse comme une religion, et qu’en conséquence elle soit rendue saine.

  
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