Од делата на Сведенборг

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #3

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3. DECISIONS DU CONCILE DE TRENTE SUR LE PECHE ORIGINEL.

(a) Adam par l’offense de prévarication a été entièrement détérioré quant au corps et à l’âme; la prévarication d’Adam a nui, non-seulement à Adam, mais encore à sa postérité; et cette prévarication a transmis dans tout le genre humain, non seulement la mort et les peines du corps, mais aussi le péché, qui est la mort de l’âme, Session 5, Ch. 1, 2.

(b) Ce péché d’Adam, qui est un par origine, et qui est transmis par propagation et non par imitation, est dans chaque homme le sien propre, et ne peut être enlevé par aucun autre moyen que par le Mérite du seul Sauveur, notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a réconciliés à Dieu dans son sang, étant devenu pour nous la Justice, la Sanctification et la Rédemption, Session 5, Ch. 3.

(c) Tous les hommes, dans la prévarication d’Adam, ont perdu l’innocence, et ils sont devenus impurs, et par nature enfants de colère, Session 6, Ch. 1.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #24

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24. Cependant les Chefs de la Reforme ont adjoint à leur foi les bonnes œuvres, et les ont aussi conjointes, mais dans L’homme comme dans un sujet passif, tandis que les Catholiques-Romain les conjoignent dans; l’homme comme dans un sujet actif: et cependant entre les uns et les autres il y a, en activité, conformité, quant à la foi, aux œuvres et aux mérites.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #12

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12. SUR LA JUSTIFICATION PAR LA FOI SANS LES ŒUVRES DE LA LOI, DOCTRINAUX PARTICULIER D’APRÈS LA FORMULE DE CONCORDE.

(a) La foi est imputée à justice sans les œuvres, à cause du Mérite du Christ, dont la foi s’empare, pages 78, 79, 80, 584, 689.

(b) La Charité suit la Foi qui justifie, mais la foi ne justifie pas, en tant qu’elle a été formée par la charité, comme s’expriment les Catholiques-Romains, pages 81, 89, 94, 117, 688, 691, et dans l’Appendice, page 169.

(c) Ni la contrition qui précède, ni la rénovation et la sanctification qui suivent, ni les bonnes œuvres alors, ne concernent l’affaire de la justice de la foi, pages 688, 689.

(d) C’est une folie de s’imaginer que les œuvres de la Seconde Table du Décalogue justifient devant Dieu, car par cette seconde Table nous agissons avec les hommes, et non proprement avec Dieu, et dans la justification on doit agir avec Dieu et apaiser sa colère, page 102.

(e) Si donc quelqu’un croit obtenir la rémission des péchés, parce qu’il a la charité, il fait injure au Christ, parce que c’est une confiance impie et vaine de la propre justice, pages 87, 89.

(f) Les bonnes œuvres doivent être entièrement exclues, quand il s’agit de la justification et de la vie éternelle, page 589.

(g) Les bonnes œuvres ne sont point nécessaires comme cause méritoire du salut, et n’entrent point dans l’acte de la justification, pages 589, 590, 702, 704, et dans l’Appendice, page 173.

(h) On doit rejeter la proposition que les bonnes œuvres sont nécessaires au salut, parce que cela ôte la consolation de l’Evangile, fournit une occasion de douter de la grâce de Dieu, donne une opinion de la propre justice, et parce que les œuvres sont acceptées par les Papistes pour soutenir une mauvaise cause, page 704.

(i) Cette phrase, que les bonnes œuvres sont nécessaires au salut, est rejetée et condamnée, page 591.

(k) Les phrases concernant les bonnes œuvres nécessaires au salut doivent, non pas être enseignées ni soutenues, mais plutôt être condamnées et rejetées comme fausses par les Eglises, page 705.

(l) Les œuvres qui ne partent point de la vraie foi sont en réalité des péchés devant Dieu, c’est-à-dire, ont été souillées de péchés, puisqu’un mauvais arbre ne peut porter de bons fruits, page 700.

(m) La foi et le salut ne sont ni conservés ni retenus par les bonnes œuvres, parce qu’elles sont seulement des témoignages que l’Esprit Saint est présent et habite en nous, pag, 590, 705, et dans l’Appendice, page 174.

(n) On doit avec raison rejeter le décret du Concile de Trente, que les bonnes œuvres conservent le salut, ou que la justice de la foi qu’on a saisie, ou la foi elle-même, est retenue et conservée par Nos. œuvres ou en totalité ou du moins en partie, page 707.

  
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