Од делата на Сведенборг

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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Од делата на Сведенборг

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #33

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33. Si l’idée de Trois Dieux a principalement découlé du symbole d’Athanase, ou la Trinité de personnes est enseignée, c’est parce que le nom de Personne enfante cette idée, et aussi parce que les paroles suivantes de ce Symbole l’implantent:

« Autre est la Personne du Père, autre celle du Fils, autre celle de l’Esprit-Saint; »

Et ensuite: le Père est Dieu et Seigneur, le Fils est Dieu et Seigneur, et l’Esprit Saint est Dieu et Seigneur; mais principalement celles-ci:

« Comme nous sommes forcés d’après la Vérité Chrétienne de confesser que chaque Personne séparément est Dieu et Seigneur, de même il nous est défendu, d’après la Religion Catholique de dire trois Dieux ou trois Seigneurs; »

de ces paroles il résulte que, d’après la Vérité Chrétienne, il faut confesser et reconnaitre trois Dieux et trois Seigneurs, mais que d’après la Religion Catholique il n’est pas permis de dire ou de nommer trois Dieux ni trois Seigneurs; qu’ainsi il faut avoir l’idée de trois Dieux et de trois Seigneurs, mais qu’il est défendu de l’avouer de bouche. Que cependant la Doctrine de la Trinité dans le symbole d’Athanase Concorde toujours avec la vérité, pourvu qu’à la Trinité de personnes on y substitue la Trinité de la Personne, Trinité qui est dans le Dieu Sauveur Jésus-Christ, on le voit dans la doctrine de la nouvelle Jérusalem sur le Seigneur publiée en 1763 à Amsterdam, N° 55 à 61.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #23

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23. Le Concile de Trente s’exprime ainsi sur la Foi justifiante:

« Le consentement perpétuel de l’Eglise Catholique a été, que la Foi est le commencement du salut humain, le fondement et la racine de toute justification, sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu et de parvenir à la société de ses enfants; »

Voir ci-dessus, N° 5 (a). Il dit aussi que la Foi vient par l’ouïe lorsqu’on écoute la Parole de Dieu, N° 4 (c). Que ce Concile Catholique Romain ait conjoint la foi et la charité, ou la foi et les bonnes œuvres, c’est ce que prouvent pleinement les passages rapportés ci-dessus, N° 4, 5, 7, 8. Mais que les Eglises Réformées, à partir de leurs Chefs, les aient séparées, en déclarant que le salvifique est dans la foi, et non en même temps dans la charité ou les œuvres, afin de rompre avec les Catholiques-Romains quant aux essentiels mêmes de l’Eglise, qui sont la Foi et la Charité, c’est ce que j’ai quelquefois entendu dire par ces Chefs mêmes, ci-dessus nommés; comme aussi, qu’ils avaient affermi cette séparation par ces principes:

« Que personne par soi-même ne peut faire le bien qui contribue au salut; ni ne peut remplir la loi; puis, de peur que par là le mérite de l’homme n’entre dans la foi. »

Que ce soit d’après ces principes, et pour cette fin, qu’ils aient séparé les biens de la charité d’avec la foi, et aussi par conséquent d’avec le salut, on le voit par les extraits de la Formule de concorde, cités ci-dessus, N° 12, parmi lesquels sont ceux-ci:

« Que la foi ne justifie pas, en tant qu’elle a été formée par la charité, comme s’expriment les Catholiques-Romans, » N° 12 (b).

« Qu’on doit rejeter la proposition que les bonnes œuvres sont nécessaires au salut, pour plusieurs motifs, et aussi parce qu’elles sont acceptées par les Papistes pour soutenir une mauvaise cause, » N° 12 (h).

« Qu’on doit avec raison rejeter le décret du Concile de Trente, que les bonnes œuvres conservent et retiennent le salut et la foi, » N° 12 (n);

Et en outre plusieurs autres. Que les Réformés cependant conjoignent la foi et la charité ensemble en un seul salvifique, avec la seule différence de la qualité des œuvres, on va le voir dans le Lemme suivant:

  
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