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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #3

Proučite ovaj odlomak

  
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3. DECISIONS DU CONCILE DE TRENTE SUR LE PECHE ORIGINEL.

(a) Adam par l’offense de prévarication a été entièrement détérioré quant au corps et à l’âme; la prévarication d’Adam a nui, non-seulement à Adam, mais encore à sa postérité; et cette prévarication a transmis dans tout le genre humain, non seulement la mort et les peines du corps, mais aussi le péché, qui est la mort de l’âme, Session 5, Ch. 1, 2.

(b) Ce péché d’Adam, qui est un par origine, et qui est transmis par propagation et non par imitation, est dans chaque homme le sien propre, et ne peut être enlevé par aucun autre moyen que par le Mérite du seul Sauveur, notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a réconciliés à Dieu dans son sang, étant devenu pour nous la Justice, la Sanctification et la Rédemption, Session 5, Ch. 3.

(c) Tous les hommes, dans la prévarication d’Adam, ont perdu l’innocence, et ils sont devenus impurs, et par nature enfants de colère, Session 6, Ch. 1.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #116

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116. La foi du Nouveau Ciel et de la Nouvelle Eglise dans sa forme universelle est celle-ci: Que le Seigneur d’éternité (ab æterno). Qui est Jéhovah, est venu dans le Monde pour subjuguer les Enfers glorifier son Humain; que sans cela aucun mortel n’aurait pu être sauvé; et que ceux qui croient en Lui sont sauvés.

Il est dit: Dans la forme universelle, car c’est là l’universel de la foi, et l’universel de la foi est ce qui doit être dans toutes et dans chacune des choses de la foi. C’est un Universel de la foi qu’il y a un Dieu Un en Essence et en Personne, dans Lequel est une Trinité, et que le Seigneur Dieu Sauveur Jésus-Christ est ce Dieu. C’est un Universel de la foi, que nul mortel n’aurait pu être sauvé, si le Seigneur ne fut venu dans le Monde. C’est un Universel de la foi, qu’il est venu dans le Monde, pour éloigner de l’homme l’Enfer, et qu’il l’a é1oigné par des Combats contre lui et par des Victoires remportées sur lui; ainsi il l’a subjugué et l’a remis dans l’ordre et sous son obéissance. C’est un Universel de la foi, qu’il est venu dans le Monde pour glorifier l’humain qu’il a pris dans le Monde, c’est à dire, pour l’unir au Divin a Quo (dont il procédait); ainsi il tient à éternité dans l’ordre et sous son obéissance l’Enfer subjugué par Lui. Comme l’un et l’autre n’a pu se faire que par des Tentations admises dans son humain jusqu’à la dernière de toutes, et que cette dernière était la Passion de la Croix, c’est pour cela qu’il a subie. Ce sont là les Universaux de la foi en ce qui concerne le Seigneur.

De la part de l’homme, l’universel de la Foi Chrétienne est qu’il croie au Seigneur, car par croire en Lui il se fait avec Lui une conjonction, par laquelle il y a Salvation; croire en Lui c’est avoir la confiance qu’il sauve: et comme il n’y a que celui qui vit bien qui puisse avoir cette confiance, il en résulte que par croire en Lui il est entendu aussi vivre bien.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #23

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23. Le Concile de Trente s’exprime ainsi sur la Foi justifiante:

« Le consentement perpétuel de l’Eglise Catholique a été, que la Foi est le commencement du salut humain, le fondement et la racine de toute justification, sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu et de parvenir à la société de ses enfants; »

Voir ci-dessus, N° 5 (a). Il dit aussi que la Foi vient par l’ouïe lorsqu’on écoute la Parole de Dieu, N° 4 (c). Que ce Concile Catholique Romain ait conjoint la foi et la charité, ou la foi et les bonnes œuvres, c’est ce que prouvent pleinement les passages rapportés ci-dessus, N° 4, 5, 7, 8. Mais que les Eglises Réformées, à partir de leurs Chefs, les aient séparées, en déclarant que le salvifique est dans la foi, et non en même temps dans la charité ou les œuvres, afin de rompre avec les Catholiques-Romains quant aux essentiels mêmes de l’Eglise, qui sont la Foi et la Charité, c’est ce que j’ai quelquefois entendu dire par ces Chefs mêmes, ci-dessus nommés; comme aussi, qu’ils avaient affermi cette séparation par ces principes:

« Que personne par soi-même ne peut faire le bien qui contribue au salut; ni ne peut remplir la loi; puis, de peur que par là le mérite de l’homme n’entre dans la foi. »

Que ce soit d’après ces principes, et pour cette fin, qu’ils aient séparé les biens de la charité d’avec la foi, et aussi par conséquent d’avec le salut, on le voit par les extraits de la Formule de concorde, cités ci-dessus, N° 12, parmi lesquels sont ceux-ci:

« Que la foi ne justifie pas, en tant qu’elle a été formée par la charité, comme s’expriment les Catholiques-Romans, » N° 12 (b).

« Qu’on doit rejeter la proposition que les bonnes œuvres sont nécessaires au salut, pour plusieurs motifs, et aussi parce qu’elles sont acceptées par les Papistes pour soutenir une mauvaise cause, » N° 12 (h).

« Qu’on doit avec raison rejeter le décret du Concile de Trente, que les bonnes œuvres conservent et retiennent le salut et la foi, » N° 12 (n);

Et en outre plusieurs autres. Que les Réformés cependant conjoignent la foi et la charité ensemble en un seul salvifique, avec la seule différence de la qualité des œuvres, on va le voir dans le Lemme suivant:

  
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