Iz Swedenborgovih djela

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

Proučite ovaj odlomak

  
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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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Iz Swedenborgovih djela

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #96

Proučite ovaj odlomak

  
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96. Celui qui était assis sur le Trône, c’est-à-dire, le Seigneur, dit à Jean ces paroles, lorsque celui-ci vit la Nouvelle Jérusalem descendant de Dieu, du Ciel; dans le chapitre suivant, il sera démontré que par la Nouvelle, Jérusalem il est entendu la Nouvelle Eglise. Que les faussetés des Dogmes de la foi de l’Eglise d’aujourd’hui doivent d’abord être mises à découvert et rejetées avant que les vérités des Dogmes de la Nouvelle Eglise soient révélées et reçues, c’est parce que ces Dogmes ne s’accordent pas en un seul point ou en une seule partie; en effet, les Dogmes de l’Eglise d’aujourd’hui sont fondés sur une foi, dans laquelle on ignore s’il y a quelque Essentiel de l’Eglise; les Essentiels de l’Eglise, qui se conjoignent avec la foi en un seul Dieu, sont la Charité; les Bonnes œuvres, la Pénitence, la Vie selon les Lois Divines; et comme ces choses unies avec la foi affectent et meuvent la volonté et la pensée de l’homme, elles conjoignent l’homme au Seigneur, et le Seigneur à l’homme; puis donc qu’aucun de ces Essentiels ne pénètre dans la foi de l’Eglise d’aujourd’hui lors de son entrée, qu’ils nomment l’acte de la justification, on ne peut savoir en aucune manière si cette foi est dans l’homme, ou non, par conséquent si c’est quelque chose, ou seulement une idée;. ils disent, en effet, que l’homme dans cet acte est comme un tronc d’arbre ou une pierre, et que quant à sa réception il ne peut en la moindre chose ni vouloir, ni penser, ni y coopérer, ni même s’y disposer et s’y préparer; voir ci-dessus, N° 15 (c) (d); lors donc que personne ne peut augurer, ni, à plus forte raison, savoir si cette foi est en lui, et si par conséquent elle est chez lui comme une fleur peinte ou comme une fleur des champs, ou si elle est comme un oiseau qui vole à côté de lui ou comme un oiseau qui fait son nid en lui, on demande par quels indices ou par quels signes il le connaitra; si l’on répond que c’est d’après la charité, les bonnes œuvres, la pénitence et les exercices de la foi, qui suivent la foi après la justification, et cependant cette foi n’a aucun lien avec ces choses, est-ce donc qu’un non-lieu peut être un signe qui atteste, je laisse à ceux qui ont de la sagacité à en faire la recherche; car cette foi ne peut être ni conservée ni retenue par les choses ci-dessus nominées; voir plus haut, N° 12 (m) (n). De là se tire cette conclusion, que dans la foi d’aujourd’hui il n’y a rien qui appartienne à l’Eglise, et qu’ainsi cette foi n’est pas quelque chose, mais c’est seulement une idée qu’elle est la foi; maintenant, puisque telle est cette foi, c’est avec raison qu’elle doit être rejetée; bien plus, elle-même se rejette, comme une chose dans laquelle il n’y a aucun attribut de l’Eglise.

  
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Iz Swedenborgovih djela

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #85

Proučite ovaj odlomak

  
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85. Que par les Boucs il n’en soit pas entendu d’autres que ceux-là, c’est ce qui m’a été prouvé par l’Expérience dans le Monde Spirituel; dans ce Monde apparaissent toutes les choses qui existent dans le Monde Naturel, on y voit des maisons et des palais, on y voit des paradis et des jardins dans lesquels il y a des arbres de toute espèce, on y voit des champs et des jachères, des plaines et des prairies; on y voit aussi des troupeaux de gros et de menu bétail; toutes ces choses ressemblent à celles qui sont sur notre Terre, avec cette seule différence que celles-ci sont d’une Origine naturelle, et celles-là d’une Origine spirituelle. J’y ai souvent vu des Brebis et des Boucs, et aussi entre eux des combats, semblables à ce combat qui est décrit dans Daniel, Chap. 8; j’ai vu des Boucs avec des cornes courbées par devant et par derrière se jeter avec fureur sur des Brebis; j’ai vu des Boucs avec deux et avec quatre cornes, dont ils frappaient avec impétuosité les Brebis; et quand j’ai examiné ce que c’était, j’ai vu quelques esprits qui disputaient entre eux sur la Foi conjointe à la Charité et sur la Foi séparée d’avec la Charité, ce qui m’a prouvé que la foi justifiante d’aujourd’hui, qui, considérée en elle-même, est la Foi séparée d’avec la Charité, est le Bouc, et que la Foi conjointe à la Charité est la Brebis.

  
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