from the Writings of Emanuel Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #2

Studere hoc loco

  
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2. Dans la Bulle donnée par PIE IV, PONTIFE ROMAIN, l’an 1564, aux Ides de Novembre, on lit ces paroles:

« J’embrasse et reçois tout ce qui, en général et en particulier, a été arrêté et déclaré, touchant le péché originel et la JUSTIFICATION, dans le seconde Concile de Trente. »

  
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from the Writings of Emanuel Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #26

Studere hoc loco

  
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26. Que sur les mérites des œuvres les Réformateurs enseignent à peu près les mêmes choses que les Catholiques-Romains, on le voit par ces passages tirés de la Formule de Concorde: Que les bonnes œuvres sont rétribuées d’après la force de la promesse et d’après la grâce, et que par-là elles méritent les récompenses spirituelles, et aussi les récompenses spirituelles, N° 14 (i) (k) (l) (n). Et que Dieu couronne d’une récompense ses dons, N° 14 (h) (n). Des choses parfaitement semblables sont dites dans le Concile de Trente, à savoir: Que Dieu d’après la grâce fait que ses dons sont des mérites pour nous, N° 5 (f). Et, en outre, que le Salut vient, non pas des œuvres mais de la promesse et de la grâce, parce que Dieu les opère par l’Esprit Saint, N° 5 (e) (f) (g) (h) (i) (k).

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #8

Studere hoc loco

  
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8. La foi vient par l’ouïe, lorsque l’homme tient pour vrai ce qui a été divinement révélé, et qu’il croit aux promesses de Dieu. La foi est le commencement du salut humain, le fondement et la racine de toute justification, sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu, et de venir dans la société de ses enfants: la Justification se fait par la foi, l’espérance et la charité, et la foi à moins que l’espérance et la charité ne s’en approchent, n’est point une foi vive, mais c’est une foi morte qui n’unit point avec Christ. L’homme doit coopérer; il peut s’approcher et s’éloigner, autrement rien ne pourrait lui être donné, parce qu’il serait comme un corps inanimé. Puisque la réception de la justification renouvelle l’homme, et que cela se fait par l’application du mérite du Christ en lui, l’homme coopérant, il s’ensuit que les œuvres sont méritoires; mais parce qu’elles se font d’après la grâce et par l’Esprit Saint, et que le Christ Seul a mérité, Dieu fait que ses dons sont des mérites chez l’homme; de là il résulte que personne ne peut s’attribuer quelque chose du mérite.

  
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