Des oeuvres de Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #3

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3. DECISIONS DU CONCILE DE TRENTE SUR LE PECHE ORIGINEL.

(a) Adam par l’offense de prévarication a été entièrement détérioré quant au corps et à l’âme; la prévarication d’Adam a nui, non-seulement à Adam, mais encore à sa postérité; et cette prévarication a transmis dans tout le genre humain, non seulement la mort et les peines du corps, mais aussi le péché, qui est la mort de l’âme, Session 5, Ch. 1, 2.

(b) Ce péché d’Adam, qui est un par origine, et qui est transmis par propagation et non par imitation, est dans chaque homme le sien propre, et ne peut être enlevé par aucun autre moyen que par le Mérite du seul Sauveur, notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a réconciliés à Dieu dans son sang, étant devenu pour nous la Justice, la Sanctification et la Rédemption, Session 5, Ch. 3.

(c) Tous les hommes, dans la prévarication d’Adam, ont perdu l’innocence, et ils sont devenus impurs, et par nature enfants de colère, Session 6, Ch. 1.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #24

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24. Cependant les Chefs de la Reforme ont adjoint à leur foi les bonnes œuvres, et les ont aussi conjointes, mais dans L’homme comme dans un sujet passif, tandis que les Catholiques-Romain les conjoignent dans; l’homme comme dans un sujet actif: et cependant entre les uns et les autres il y a, en activité, conformité, quant à la foi, aux œuvres et aux mérites.

  
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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #22

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22. Que les quatre Articles ci-dessus nommés, tels qu’ils sont aujourd’hui enseignés dans les Eglises Reformées, n’aient été ni nouveaux, ni forgés d’abord par ces Trois Chefs, mais qu’ils datent de l’époque du Concile de Nicée, et aient, après ce concile, été transmis par les Ecrivains, et par suite été conservés dans l’Eglise Catholique-Romaine, on le voit clairement d’après les Livres de l’Histoire Ecclésiastique. Que les Catholiques-Romains et les Réformes s’accordent sur l’Article de la Trinité de Personnes dans la Divinité, c’est parce que les uns et les autres reconnaissent les Trois Symboles dans lesquels la Trinité est enseignée, à savoir, le Symbole Apostolique, celui de Nicée et celui d’Athanase. Qu’ils s’accordent sur l’Article de l’imputation du mérite du Christ, on le voit clairement par les passages extraits du Concile de Trente, Nos. 3 à 8, confères avec ceux qui ont été tirés de la formule de Concorde, Nos. 10 à 15. Qu’ils s’accordent aussi sur l’Article de la Justification, c’est ce qui va être maintenant soumis à l’examen.

  
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